L'Érythrée : La répression, elle crée une crise de droits humains

martes, 19 de mayo de 2009

la pratique étendue en Érythrée d'arrêt et torture de ses citadins et sa politique, de prolonger le service militaire obligatoire, ils créent une crise de droits humains et provoquent que de plus en plus d'eritreos fuient du pays, il a remarqué Human Rights Watch dans un rapport publié aujourd'hui.
Le rapport de 95 pages "Service for Life : State Repression and Indefinite Conscription in l'Érythrée" (le Service perpétuel : Une répression étatique et un service militaire indéfini en Érythrée) documente les graves violations des droits humains commises par le gouvernement eritreo, qui incluent un arrêt arbitraire, il torture, des conditions terribles de réclusion, de travail inévitable et de graves restrictions de la liberté de mouvements, d'expression et de culte. Il analyse aussi la difficile situation à laquelle s'affrontent les eritreos qui réussissent à échapper à d'autres pays comme la Libye, le Soudan, et l'Égypte et l'Italie.
"Le Gouvernement de l'Érythrée transforme le pays en prison gigantesque", a remarqué Georgette Gagnon, directrice pour l'Afrique de Human Rights Watch. "L'Érythrée doit immédiatement rapporter des comptes par les centaines de prisonniers 'disparus' et ouvrir ses prisons à l'examen indépendant", a-t-il dit.
Human Rights Watch a prié instamment aux États-Unis et à l'Union Européenne à laquelle ils sont coordonnés par l'ONU et l'Union Africaine pour résoudre les tensions régionales et pour garantir que l'assistance au développement octroyée en Érythrée est liée par le progrès en matière des droits humains.
L'UE a récemment approuvé un paquet d'assistance de 122 millions d'euros pour l'Érythrée, malgré le souci par l'emploi de personnes dans le service militaire ou en prison pour les projets de développement, d'une violation du droit international.
Le rapport, qui est basé sur plus de 50 rencontres avec des victimes eritreas et témoins des abus sur trois pays, explique que le gouvernement eritreo utilise un vaste système de centres officiels et secrets d'arrêt pour emprisonner à des milliers de citadins sans des accusations et un jugement. Plusieurs des prisonniers ils sont enfermés par ses croyances politiques ou religieuses, les autres pour essayer de s'échapper du service militaire indéfini ou fuir du pays.

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